Tu télécharges, on te coupe internet
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Rubrique Internet
Le titre de cette news résume à lui seul ce qui est en train de se passer en France. Au cours de ces dernières semaines plusieurs adeptes du peer to peer qui du fait pour eux est devenu le pire to pire se sont vue tout simplement résilié de leur FAI…
L’objectif de cette nouvelle manière de procéder qui avait déjà été testé cet été et de dissuader la majorité des internautes de se servir de logiciels comme emule ou Kazaa.
Privés d'accès à l'Internet pour usage immodéré des services gratuits d'échange de musique : une dizaine d'internautes français ont vu leur contrat d'abonnement à un fournisseur d'accès résilié ces dernières semaines sur demande des maisons de disques. Objectif : dissuader les millions de Français adeptes des systèmes peer-to-peer (P2P) comme Kazaa ou eMule de s'adonner au téléchargement.
C’est la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP)qui se trouve à l'origine de ces mesures, et elle ne compte pas en rester à ces quelques cas. Bref ce n’est pas de cette manière que le fossé d’incompréhension qui se creuse entre les maisons de disque et les internautes risquent de se boucher.
Mais il semble que cette façon de faire soit approuvé par la SCPP pour qui cela représente une manière plus soft de faire cesser le P2P plutôt que d’aller au tribunal et de ce fait voir le contrevenant risquer très gros tant en termes d’argent que de prison(200 000€ pour le dernier jugement et 2 mois de prison avec sursis).
Affaire à suivre compte tenu du nombres d’internautes dans la ligne de mire de la SCPP.
Privés d'accès à l'Internet pour usage immodéré des services gratuits d'échange de musique : une dizaine d'internautes français ont vu leur contrat d'abonnement à un fournisseur d'accès résilié ces dernières semaines sur demande des maisons de disques. Objectif : dissuader les millions de Français adeptes des systèmes peer-to-peer (P2P) comme Kazaa ou eMule de s'adonner au téléchargement.
C’est la Société civile des producteurs phonographiques (SCPP)qui se trouve à l'origine de ces mesures, et elle ne compte pas en rester à ces quelques cas. Bref ce n’est pas de cette manière que le fossé d’incompréhension qui se creuse entre les maisons de disque et les internautes risquent de se boucher.
Mais il semble que cette façon de faire soit approuvé par la SCPP pour qui cela représente une manière plus soft de faire cesser le P2P plutôt que d’aller au tribunal et de ce fait voir le contrevenant risquer très gros tant en termes d’argent que de prison(200 000€ pour le dernier jugement et 2 mois de prison avec sursis).
Affaire à suivre compte tenu du nombres d’internautes dans la ligne de mire de la SCPP.