Et les Shadoks pompaient, pompaient un Doodle sur Google
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Rubrique Moteurs de recherche
Ce vendredi 29 avril, Google nous propose un Doodle consacré à la série télévisée d’animation française « Les Shadoks » créée par Jacques Rouxel à l’occasion du 48e anniversaire de la première diffusion des Shadoks. Et pour découvrir les 4 Doodles animés, il va vous falloir pomper, pomper, pomper avec votre touche de clavier.
En cette veille de week-end du 1er mai qui marque aussi la fin des vacances pour la dernière zone, si vous vous rendez sur votre moteur de recherche favori, vous avez sans doute remarqué que l’habituel logo de la Firme a été remplacé par un Doodle animé intitulé « 48e anniversaire de la première diffusion des Shadoks » (avec une petite erreur de singulier et pluriel).
Il y a en effet 48 ans, le 29 avril 1968 plus précisément que les Français découvrirent juste avant le journal télévisé de l’ORTF le tout premier épisode de ce dessin animé loufoque et décalé et dont ce jour-là personne n’aurait pu dire que cela allait durer jusqu’en 1973 pour les deux premières séries et même par la suite dans les années 2000, faire une apparition sur Canal+ pour une dernière saison.
La série relate tout au long des épisodes les mésaventures des Shadoks, une espèce d’oiseau avec un corps difforme surmonté par de toutes petites ailes et de longues, longues pattes. Avec un langage plus que minimaliste, il se contente de prononcer que des « Ga, Bu, Zo, Meu », ce qui est loin d’être facile pour se faire comprendre.
Les Shadoks ne sont pas seuls dans la série, il y a aussi les Gibis, des personnages coiffés d’un cheau melon et d’une intelligence supérieure. Cela n’est pas sans rappeler nos voisins anglais, avec le chapeau melon et le mot « Gibi » qui ressemble étrangement à la prononciation des lettres GB en anglais (Great Britain).
Pour en revenir au titre de notre article, il va vous falloir pomper, pomper, pomper sur la touche F5 de votre clavier, car il n’y a pas un mais 4 Doodles à découvrir.
Il y a en effet 48 ans, le 29 avril 1968 plus précisément que les Français découvrirent juste avant le journal télévisé de l’ORTF le tout premier épisode de ce dessin animé loufoque et décalé et dont ce jour-là personne n’aurait pu dire que cela allait durer jusqu’en 1973 pour les deux premières séries et même par la suite dans les années 2000, faire une apparition sur Canal+ pour une dernière saison.
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La série relate tout au long des épisodes les mésaventures des Shadoks, une espèce d’oiseau avec un corps difforme surmonté par de toutes petites ailes et de longues, longues pattes. Avec un langage plus que minimaliste, il se contente de prononcer que des « Ga, Bu, Zo, Meu », ce qui est loin d’être facile pour se faire comprendre.
Les Shadoks ne sont pas seuls dans la série, il y a aussi les Gibis, des personnages coiffés d’un cheau melon et d’une intelligence supérieure. Cela n’est pas sans rappeler nos voisins anglais, avec le chapeau melon et le mot « Gibi » qui ressemble étrangement à la prononciation des lettres GB en anglais (Great Britain).
Pour en revenir au titre de notre article, il va vous falloir pomper, pomper, pomper sur la touche F5 de votre clavier, car il n’y a pas un mais 4 Doodles à découvrir.
