Youtube : la vidéo amateur d'une interpellation crée la polémique
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Rubrique Internet
La vidéo mise en ligne le 18 aout dernier a déjà été vue plus de 900 000 fois. On peut y voir un policier frapper à plusieurs reprises à coup de matraque une femme lors d’un contrôle de police.
La vidéo a été mise en ligne sur le site de partage Youtube et elle a déjà été visionnée plus de 900 000 fois. Titrée « Honte à la police française » on peut y voir un policier frapper avec une matraque à plusieurs reprise une femme avant d’aller chercher dans le coffre de la voiture une bombe lacrymogène et la « gazer » au visage. La vidéo dure près de 8 minutes et a été filmée d’un balcon par un habitant du quartier sensible de la Rabière, à Joué-les-Tours.
L’incident serait intervenu dimanche lors d’un contrôle d’un véhicule dont le conducteur était en état d’ébriété. Au moment d’interpeler et de menotter le conducteur, plusieurs habitants du quartier se sont interposés et une femme aurait alors mordu (ou tenté de mordre) un des policiers (Indre-et-Loire). C’est à ce moment-là que la situation a dégénéré comme on peut le voir sur la vidéo.
Et depuis la mise en ligne de la vidéo sur Youtube, les commentaires ne tarissent pas, certains allant dans le sens des policiers, d'autres, plus acerbes, s’en prennent aux forces de l’ordre ou aux habitants du quartier avec beaucoup de propos xénophobes. Une enquête interne a été ouverte et l'IGPN a été saisie.
L’incident serait intervenu dimanche lors d’un contrôle d’un véhicule dont le conducteur était en état d’ébriété. Au moment d’interpeler et de menotter le conducteur, plusieurs habitants du quartier se sont interposés et une femme aurait alors mordu (ou tenté de mordre) un des policiers (Indre-et-Loire). C’est à ce moment-là que la situation a dégénéré comme on peut le voir sur la vidéo.
Et depuis la mise en ligne de la vidéo sur Youtube, les commentaires ne tarissent pas, certains allant dans le sens des policiers, d'autres, plus acerbes, s’en prennent aux forces de l’ordre ou aux habitants du quartier avec beaucoup de propos xénophobes. Une enquête interne a été ouverte et l'IGPN a été saisie.
