Libération : « Casse toi riche con » fait le buzz sur Twitter
Publié le
et mis à jour le
Rubrique Internet
Depuis ce matin, on ne parle de que de la Une de Libération. Il faut dire que le journal n’y a pas été avec le dos de la cuillère en titrant « Casse toi riche con » en légende d’une photo du patron de LVMH, Bernard Arnault une valise à la main. Libération a sans aucun doute franchi la ligne jaune du second degré, même si au départ cette dernière s’inspirait du fameux « Casse toi pauvre con » de Nicolas Sarkozy.
Et le patron de LVMH n’a pas du tout apprécié la Une de Libération et a annoncé dans un communiqué qu'il portait plainte contre Libération pour « injures publiques proférées à son égard, Bernard Arnault n'a d'autre choix, compte tenu de l'extrême vulgarité et de la violence du titre du quotidien en date du 10 septembre 2012, que d'assigner le journal Libération en justice »
Sur Twitter, les réactions n’ont pas tardé, le journal se fait littéralement lyncher par les internautes où l’on peut y lire des Tweets comme « Je viens de poser #Liberation à sa place, au pied de mon chiotte. », « Rions un peu. #Liberation qui dit "Casse toi pauvre riche" à Bernard Arnault est la propriété... d'un exilé fiscal. », « Les gros cons de #Liberation peuvent écrire leurs conneries grâce à l'argent de riches cons... Bisous », « #Libération : avant j'hésitais pour lire ce journal, mais ça c'était avant »… et la liste est très longue.
Libération se défend de toutes ces critiques, pour Sylvain Bourmeau, le directeur adjoint de la rédaction du quotidien, il s’agissait d’humour et d’ironie et qu’il fallait « resituer cette phrase dans son contexte ». Mais avec plus de 1400 commentaires sur le site de Libération, pas sur que les internautes le voient de cette manière.
Certains y verront sans doute un coup marketing pour d’autres un bad buzz !
(Source Twitter illustration site internet de Libération)
Sur Twitter, les réactions n’ont pas tardé, le journal se fait littéralement lyncher par les internautes où l’on peut y lire des Tweets comme « Je viens de poser #Liberation à sa place, au pied de mon chiotte. », « Rions un peu. #Liberation qui dit "Casse toi pauvre riche" à Bernard Arnault est la propriété... d'un exilé fiscal. », « Les gros cons de #Liberation peuvent écrire leurs conneries grâce à l'argent de riches cons... Bisous », « #Libération : avant j'hésitais pour lire ce journal, mais ça c'était avant »… et la liste est très longue.
Publicité
Libération se défend de toutes ces critiques, pour Sylvain Bourmeau, le directeur adjoint de la rédaction du quotidien, il s’agissait d’humour et d’ironie et qu’il fallait « resituer cette phrase dans son contexte ». Mais avec plus de 1400 commentaires sur le site de Libération, pas sur que les internautes le voient de cette manière.
Certains y verront sans doute un coup marketing pour d’autres un bad buzz !
(Source Twitter illustration site internet de Libération)