AFPresque mis en demeure par l’AFP pour parasitisme
Publié le
et mis à jour le
Rubrique Internet
Cette affaire de parodie sur Internet qui pourrait presque prêter à sourire remet une nouvelle fois en question de la limite où se situe la parodie et où commence la copie, la contrefaçon. Les auteurs du site Internet AFPresque ont en effet été mis en demeure par l’AFP (Agence France Presse) de cesser immédiatement la contrefaçon des marques et des visuels de l’Agence France Presse (A.F.P.) considéré comme du parasitisme et de la concurrence déloyale.
Même si le logo du site (notre illustration) et celui de son compte Twitter ne prêtaient pas à confusion et ne faisait aucun doute sur la finalité du site, il semble bien que l’AFP ne la pas vu de cette manière.
Ne cherchez pas le site AFPresque, qui depuis est hors ligne, il amène directement sur le compte Twitter « @AFPresque » qui a été censuré semble-t-il par le propriétaire du compte.
Il faut se rendre sur le compte @RédacFrancePresque pour y suivre la suite des péripéties de cette affaire et l’on peut y lire qu’« Après un brainstorming forcé mais collégial, nous allons devenir la Rédaction France Presque » l’auteur nous y explique aussi que « Nous étions peut-être dans notre droit, mais nous n'avions pas les épaules pour mener cette affaire plus loin. A notre grand regret... ».
Les auteurs du site AFPresque ont aussi mis en ligne le PDF de la mise en demeure, mais ont surtout changé le logo et le slogan litigieux pour le remplacer par celui de la mire de télévision. Pas sur que cela plaise à l’ORTF me direz-vous…
(Illustration cache Google)
Ne cherchez pas le site AFPresque, qui depuis est hors ligne, il amène directement sur le compte Twitter « @AFPresque » qui a été censuré semble-t-il par le propriétaire du compte.
Il faut se rendre sur le compte @RédacFrancePresque pour y suivre la suite des péripéties de cette affaire et l’on peut y lire qu’« Après un brainstorming forcé mais collégial, nous allons devenir la Rédaction France Presque » l’auteur nous y explique aussi que « Nous étions peut-être dans notre droit, mais nous n'avions pas les épaules pour mener cette affaire plus loin. A notre grand regret... ».
Publicité
Les auteurs du site AFPresque ont aussi mis en ligne le PDF de la mise en demeure, mais ont surtout changé le logo et le slogan litigieux pour le remplacer par celui de la mire de télévision. Pas sur que cela plaise à l’ORTF me direz-vous…
(Illustration cache Google)