L’ICANN dévoile les 1930 nouvelles extensions de noms de domaines
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et mis à jour le
Rubrique Internet
Il va sans aucun doute falloir vous y habituer, elles feront partie de votre quotidien sur Internet. Je veux bien sur vous parler des 1930 nouvelles extensions que l’ICANN (Corporation for Assigned Names and Numbers) a dévoilé hier, nouvelles extensions qui sont appelées à devenir la plus grande expansion dans l'histoire du système de noms de domaine sur Internet.
Un total de 1930 nouveaux extensions de domaines (gTLD) demandes ont été reçues au cours de la période d'application du nouveau programme de domaines génériques de premier niveau qui sont tout aussi bien des extensions de régions, de marques ou générique comme blog, love, lol, sex, sexy, porn… et coté marque l’on retrouve Audi, BMW ou Chrisler, pour la France l’on notera les gTLD paris, alsace, aquitaine, la liste étant très longue.
Sur le site Internet de l’ICANN Rod Beckstrom a déclaré que « Nous sommes à l'aube d'une nouvelle ère d'innovation en ligne », et que « Cela signifie que de nouvelles entreprises, des outils de marketing, de nouveaux emplois et de nouvelles façons de relier les communautés et partager l'information. ».
Dès à présent commence une période de 60 jours qui permettra à quiconque dans le monde de soumettre des commentaires à propos des nouvelles extensions et Kurt Pritz précise que si « quelqu'un s'oppose à une application et croit qu’il a de bonnes raisons de le faire, il pourra déposer une opposition formelle à la demande », ce durant 7 mois.
Parmi les 1.930 demandes reçues pour les nouvelles extensions il y a :
66 sont des applications de noms géographiques.
116 applications sont des noms de domaine internationalisés, ou IDN , pour les chaînes dans les scripts, comme l'arabe, le chinois, et le cyrillique.
Les demandes ont été reçues de 60 pays et territoires :
911 à partir de l'Amérique du Nord.
675 de l'Europe.
303 sont en provenance d'Asie-Pacifique.
24 à partir de l'Amérique latine et des Caraïbes.
17 de l'Afrique.
Peut-être taperez-vous un jour thesiteoueb.lol pour accéder au site ! Il faut dire que certaines extensions nous semblent on ne peut plus farfelues, mais avec Internet on peut s’attendre au pire comme au meilleur.
En conclusion, se sont les sociétés chargées de l’enregistrement des noms de domaines qui doivent commencer à se frotter les mains (registars), car les marques devront sans doute passer par la case porte-monnaie pour acheter toutes les extensions concernant leurs noms de domaines afin d’éviter le cybersquatting.
(Source et illustration ICANN)
Sur le site Internet de l’ICANN Rod Beckstrom a déclaré que « Nous sommes à l'aube d'une nouvelle ère d'innovation en ligne », et que « Cela signifie que de nouvelles entreprises, des outils de marketing, de nouveaux emplois et de nouvelles façons de relier les communautés et partager l'information. ».
Dès à présent commence une période de 60 jours qui permettra à quiconque dans le monde de soumettre des commentaires à propos des nouvelles extensions et Kurt Pritz précise que si « quelqu'un s'oppose à une application et croit qu’il a de bonnes raisons de le faire, il pourra déposer une opposition formelle à la demande », ce durant 7 mois.
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Parmi les 1.930 demandes reçues pour les nouvelles extensions il y a :
66 sont des applications de noms géographiques.
116 applications sont des noms de domaine internationalisés, ou IDN , pour les chaînes dans les scripts, comme l'arabe, le chinois, et le cyrillique.
Les demandes ont été reçues de 60 pays et territoires :
911 à partir de l'Amérique du Nord.
675 de l'Europe.
303 sont en provenance d'Asie-Pacifique.
24 à partir de l'Amérique latine et des Caraïbes.
17 de l'Afrique.
Peut-être taperez-vous un jour thesiteoueb.lol pour accéder au site ! Il faut dire que certaines extensions nous semblent on ne peut plus farfelues, mais avec Internet on peut s’attendre au pire comme au meilleur.
En conclusion, se sont les sociétés chargées de l’enregistrement des noms de domaines qui doivent commencer à se frotter les mains (registars), car les marques devront sans doute passer par la case porte-monnaie pour acheter toutes les extensions concernant leurs noms de domaines afin d’éviter le cybersquatting.
(Source et illustration ICANN)