Cityville de Zynga devient le jeu numéro un sur Facebook
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Rubrique Internet
Sur Facebook vous avez la possibilité de vous faire des contacts, de discuter avec eux, de mettre des photos en ligne, bref de vous tisser un réseau social, mais Facebook offre aussi la possibilité de jouer en ligne à des jeux, la plupart étant en flash. Et c’est Cityville, un jeu développé par Zynga, qui est devenu le jeu le plus joué sur Facebook en décembre dernier.
Zynga, qui n’en est pas à son coup d’essai avec par exemple Farmille un autre jeu gratuit de simulation agricole présent lui aussi sur Facebook, doit se frotter les mains. Selon Inside social games, Cityville est devenu en décembre dernier l’application de jeu de plate-forme la plus jouée sur Facebook avec 84,2 millions d’utilisateurs actifs par mois. Au 4 janvier il y avait 88 464 217 d’utilisateurs actifs au mois et plus de 16 millions d’utilisateurs journaliers.
Il faut dire que le jeu a de quoi plaire et Zynga l’a très bien compris. Cityville est en quelque sorte un Sim City en ligne qui vous permet de gérer, faire prospérer et agrandir votre ville. Pour cela, il existe vous devez posséder de l’argent, mais surtout avoir de l’énergie (une action enlève une énergie la plupart du temps) et réaliser différents « challenges » qui se compliquent au fur et à mesure de la progression dans le jeu et l’agrandissement.
Et pour progresser dans cityville il n’y a pas trente-six solutions. Il faut soit s’entourer d’amis, présent sur Facebook, et qui jouent à ce jeu, mais aussi en persuader d’autres de vous rejoindre afin de s’envoyer mutuellement cadeaux et autres demandes, soit passer par la case « achat » et là cela n’a plus rien de virtuel, il faudra débourser quelques euros pour acquérir de la monnaie ou de l’énergie afin de continuer le jeu. Ou en dernier ressort, patienter, le jeu au fil des heures vous permettant de « recharger » votre capital énergie.
Vous l’aurez compris, c’est sur l’avant-dernière possibilité que Zynga fait reposer son modèle économique. Acheter pour quelques euros des « biens virtuels » pour continuer à jouer est le but premier de ce jeu, et tout y est fait pour passer à la caisse à un moment ou un autre, à moins de posséder un nombre de contacts conséquent sur Cityville ou ne pas être pressé de faire évoluer sa ville.
Et quelques euros par-ci, quelques euros par là, cela permet à Zynga « d’engranger » quelques millions d’euros, Facebook de son coté n’étant pas en reste, ce dernier proposant son mode de paiement dans le jeu.
En conclusion, avec plus de 500 millions de membres sur Facebook, Cityville a de beaux jours devant lui, si le jeu atteint le même taux de pénétration que Farmville, il devrait passer le cap des 200 millions de joueurs.
De quoi donner des idées à Electronic Art l’éditeur du jeu Sim City.
Il faut dire que le jeu a de quoi plaire et Zynga l’a très bien compris. Cityville est en quelque sorte un Sim City en ligne qui vous permet de gérer, faire prospérer et agrandir votre ville. Pour cela, il existe vous devez posséder de l’argent, mais surtout avoir de l’énergie (une action enlève une énergie la plupart du temps) et réaliser différents « challenges » qui se compliquent au fur et à mesure de la progression dans le jeu et l’agrandissement.
Et pour progresser dans cityville il n’y a pas trente-six solutions. Il faut soit s’entourer d’amis, présent sur Facebook, et qui jouent à ce jeu, mais aussi en persuader d’autres de vous rejoindre afin de s’envoyer mutuellement cadeaux et autres demandes, soit passer par la case « achat » et là cela n’a plus rien de virtuel, il faudra débourser quelques euros pour acquérir de la monnaie ou de l’énergie afin de continuer le jeu. Ou en dernier ressort, patienter, le jeu au fil des heures vous permettant de « recharger » votre capital énergie.
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Vous l’aurez compris, c’est sur l’avant-dernière possibilité que Zynga fait reposer son modèle économique. Acheter pour quelques euros des « biens virtuels » pour continuer à jouer est le but premier de ce jeu, et tout y est fait pour passer à la caisse à un moment ou un autre, à moins de posséder un nombre de contacts conséquent sur Cityville ou ne pas être pressé de faire évoluer sa ville.
Et quelques euros par-ci, quelques euros par là, cela permet à Zynga « d’engranger » quelques millions d’euros, Facebook de son coté n’étant pas en reste, ce dernier proposant son mode de paiement dans le jeu.
En conclusion, avec plus de 500 millions de membres sur Facebook, Cityville a de beaux jours devant lui, si le jeu atteint le même taux de pénétration que Farmville, il devrait passer le cap des 200 millions de joueurs.
De quoi donner des idées à Electronic Art l’éditeur du jeu Sim City.