Des Internautes pour composer l'encyclopédie de Google
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Rubrique Moteurs de recherche
On parle de Google tout azimut. Et Goole d'annoncer l'ouverture prochaine de Knol, sorte d'encyclopédie en ligne qui ferait éventuellement concurrence à Wilkipedia et qui serait composé d'articles constitués par des Internautes sur tous les sujets possibles et imaginables.
Ces articles concerneraient tous sujets, aussi bien scientifiques, médicaux, géographiques,qu' historique, portant sur des produits ou des guides techniques.
Au contraire de Wilkipedia, dont les articles peuvent avoir été travaillés par plusieurs personnes, les articles ne seraient associés qu'à une seule personne qui s'occupe d'un sujet et dont la photo serait mise en évidence sur la page.
Google prévoirait d'insérer des liens sponsorisés dans ses Knols, revenus publicitaires qui seraient en partie reversés aux auteurs, suivant un système de pourcentage non encore révélé. Alors que Wilkipédia vit principalement de dons, Google veut par là donner aux Internautes des outils accessibles et performants afin de partager leurs savoirs. Google s'attaque à un gros défi, sachant que Wilkipédia est quand même constitué de dix millions d'articles en 253 langues. Très célèbre et ayant un contenu dense, Wilkipédia a une présence très enviée à la tête des réponses de Google.
Sur la page France, un article est visité chaque jour environ 150.000 fois. La bataille entre les deux protagonistes fait rage et à l'inverse de Google qui veut prendre pied sur l'encyclopédie, Wilkipédia travaille à édifier un moteur de recherche qu'il veut plus pertinent que Google.
Réaction du géant des moteurs de recherches qui ne voit pas d'un bon oeil que l'on marche sur ses plates-bande.
Au contraire de Wilkipedia, dont les articles peuvent avoir été travaillés par plusieurs personnes, les articles ne seraient associés qu'à une seule personne qui s'occupe d'un sujet et dont la photo serait mise en évidence sur la page.
Google prévoirait d'insérer des liens sponsorisés dans ses Knols, revenus publicitaires qui seraient en partie reversés aux auteurs, suivant un système de pourcentage non encore révélé. Alors que Wilkipédia vit principalement de dons, Google veut par là donner aux Internautes des outils accessibles et performants afin de partager leurs savoirs. Google s'attaque à un gros défi, sachant que Wilkipédia est quand même constitué de dix millions d'articles en 253 langues. Très célèbre et ayant un contenu dense, Wilkipédia a une présence très enviée à la tête des réponses de Google.
Sur la page France, un article est visité chaque jour environ 150.000 fois. La bataille entre les deux protagonistes fait rage et à l'inverse de Google qui veut prendre pied sur l'encyclopédie, Wilkipédia travaille à édifier un moteur de recherche qu'il veut plus pertinent que Google.
Réaction du géant des moteurs de recherches qui ne voit pas d'un bon oeil que l'on marche sur ses plates-bande.
