L'industrie antivirale contre un éditeur d'adwares!
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Le célèbre fournisseur d'adwares "Zango" qui n'appéciait pas que les éditeurs d'antivirus classent ses produits comme néfastes avait décidé d'attaquer "Kaspersky Lab" en justice afin que celui-ci laisse s'installer les logiciels douteux de sa gamme.La justice américaine l'a débouté.
Cette victoire de "Kaspersky Lab" à l'encontre de l'éditeur d'adwares "Zango" fera sans doutes jurisprudence. Zango reprochait à l'antivirus russe d'avertir ses utilisateurs à l'installation d'un des "outils de marketing" de Zango. Les outils de Zango qui, rappelons-le, pour le principal des barres de recherche pour IE et autres jeux gratuits, ont vraiment tout de l'adware. En effet, ils installent des composants en douce, pour ne rien gâcher, ils noient le PC sous un déluge de fenêtres publicitaires et surtout, sont très difficiles à être désinstallés. Déjà l'an passé, l'éditeur avait été condamné à trois millions de dollars d'amende par la FTC américaine pour "proposition de téléchargement/installation de adwares injuste et trompeuse". Dans l'affaire contre Kapersky Lab, les outils de zango étaient présentés par l'éditeur antivirus russe comme "potentiellement indésirables", classification créée poue accomoder les spywares et les adwares par la plupart des éditeurs antivirus pour éviter les procès avec les fournisseurs de spywares.
Manifestement, Zango ne trouve pas le classement de ses produits comme "potentiellement indésirables " à son goût et aimerait qu'ils soient considérés comme "surs". La justice américaine vient donc de donner raison aux industries antivirus et valide par la même occasion l'appellation de logiciel "potentiellement indésirables". Pour les utilisateurs, le plus important est de savoir que si un logiciel est classé comme "potentiellement indésirable" ou "non sur", il faut alors s'abstenir de l'installer.
Manifestement, Zango ne trouve pas le classement de ses produits comme "potentiellement indésirables " à son goût et aimerait qu'ils soient considérés comme "surs". La justice américaine vient donc de donner raison aux industries antivirus et valide par la même occasion l'appellation de logiciel "potentiellement indésirables". Pour les utilisateurs, le plus important est de savoir que si un logiciel est classé comme "potentiellement indésirable" ou "non sur", il faut alors s'abstenir de l'installer.