Etats Unis: Les adeptes du Peer to Peer au pied du mur
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Rubrique Internet
Le syndicat des maisons de disques (RIAA) a envoyé des assignations aux fournisseurs d'accès pour identifier les plus gros consommateur.
Le syndicat affirme avoir commencé plusieurs centaines de procédures à l’encontre des utilisateurs de Kazza ou autre Emule. Il faut savoir que la peine de prison encourue pourrait aller jusqu’à…
Le syndicat affirme avoir commencé plusieurs centaines de procédures à l’encontre des utilisateurs de Kazza ou autre Emule. Il faut savoir que la peine de prison encourue pourrait aller jusqu’à…
5 ans si le congrès vote ce projet de loi et l’amende serai dans les même proportions (250 000 $) . Pour les défendeurs du Peer to Peer et il sont légion, cette manière de faire est une réaction de désespoir avec un modèle économique que les maisons de disques ne veulent pas laisser partir.
Dans le même temps et pour renforcer la démarche du RIAA, deux députés américains Howard Berman et John Conyers viennent d'ailleurs de présenter au parlement un nouveau projet de loi particulièrement répressif, baptisé "Author, Consumer and Computer Owner Protection and Security Act" (Accops) et qui ne laisserai pas de marges de manœuvre au serveurs de Peer to Peer condamnant du même coup le téléchargement légal.
En conclusion et alors que la bataille ne fait que commencer il faut tout de même rappeler qu’il existe du Peer to Peer légal que cela soit sous forme de logiciels freewares ou sharewares et aussi des groupes qui veulent se faire connaître par l’intermédiaire d’internet qui il faut le souligner a permis a plusieurs chanteurs de se lancer de cette manière et dont les œuvres sont en libre téléchargement sur les serveurs.
Dans le même temps et pour renforcer la démarche du RIAA, deux députés américains Howard Berman et John Conyers viennent d'ailleurs de présenter au parlement un nouveau projet de loi particulièrement répressif, baptisé "Author, Consumer and Computer Owner Protection and Security Act" (Accops) et qui ne laisserai pas de marges de manœuvre au serveurs de Peer to Peer condamnant du même coup le téléchargement légal.
En conclusion et alors que la bataille ne fait que commencer il faut tout de même rappeler qu’il existe du Peer to Peer légal que cela soit sous forme de logiciels freewares ou sharewares et aussi des groupes qui veulent se faire connaître par l’intermédiaire d’internet qui il faut le souligner a permis a plusieurs chanteurs de se lancer de cette manière et dont les œuvres sont en libre téléchargement sur les serveurs.