Du jeu virtuel au meurtre réel il n’y a qu’un pas
Publié le
et mis à jour le
Rubrique Jeux vidéo
L’AFP rapporte cette triste nouvelle. Un jeune joueur de Shanghai vient d’être condamné à mort mardi avec un sursis qui risque de commuer sa peine en prison à vie (il vaut mieux) car dans un accès de colère pourrait-on dire, il a tué un autre joueur du jeu Chuanqi…
Ne me demandez pas en quoi consiste le jeu, il semble que cela soit un jeu de rôle.
Donc ce jeune joueur Qiu Chengwei, ainsi qu'un autre internaute Li, étaient devenus début 2004 détenteurs du "sabre pourfendeur de dragon", arme suprême de ce jeu.
Ils avaient prêté cette arme virtuelle à Zhu qui a eu vite fait de la vendre pour 7000 Yuans soit environ 700 euros.
Du coup quand Qiu Chengwei est venu réclamer son arme, celui-ci n’a pu être en mesure de lui donner et à refuser de donner au moins la somme de la vente.
L’affaire c’est terminé par un coup de poignard au cœur, poignard qui n’avait rien de virtuel lui, et son meurtre accomplis il c’est rendu à la police.
Comme quoi, plus les jeux deviennent réalistes plus les joueurs s’imprègnent du jeu et le danger est sans doute de ne plus arriver à faire la différence entre du virtuel et du réel.
Ce n’est pas la première fois que ce genre de mésaventure arrive et à l’instar de Blizzard qui pour éviter cette dérive ferme purement et simplement le compte du joueur qui vend du virtuel, d’autres éditeurs de jeux devraient peut-être suivre cet exemple.
Donc ce jeune joueur Qiu Chengwei, ainsi qu'un autre internaute Li, étaient devenus début 2004 détenteurs du "sabre pourfendeur de dragon", arme suprême de ce jeu.
Ils avaient prêté cette arme virtuelle à Zhu qui a eu vite fait de la vendre pour 7000 Yuans soit environ 700 euros.
Du coup quand Qiu Chengwei est venu réclamer son arme, celui-ci n’a pu être en mesure de lui donner et à refuser de donner au moins la somme de la vente.
L’affaire c’est terminé par un coup de poignard au cœur, poignard qui n’avait rien de virtuel lui, et son meurtre accomplis il c’est rendu à la police.
Comme quoi, plus les jeux deviennent réalistes plus les joueurs s’imprègnent du jeu et le danger est sans doute de ne plus arriver à faire la différence entre du virtuel et du réel.
Ce n’est pas la première fois que ce genre de mésaventure arrive et à l’instar de Blizzard qui pour éviter cette dérive ferme purement et simplement le compte du joueur qui vend du virtuel, d’autres éditeurs de jeux devraient peut-être suivre cet exemple.