Windows moins cher que cher devant la justice
Publié le
et mis à jour le
Rubrique Actu du moment
Comme les idées lucratives n’ont pas de limites, six personnes le démontrent avec cette arnaque. Pour commencer elles ont acheté ou plutôt importé depuis le Canada, là ou les licences sont moins chères qu’en France des logiciels. Et ou l’astuce commence, c’est que dans le même temps elles achetaient une version officielle française…
Après, il ne restait plus qu’à faire une photocopie couleur de la licence officielle française ainsi que pour la documentation et pour insérer ou plutôt remplacer la licence Canadienne par celle copiée, il se servait d’un sèche cheveux pour décoller et ensuite recoller l’enveloppe scellée. Il fallait y penser .
Cela permettait de revendre des logiciels au quart de sa valeur officielle en France.
Le chiffre total avancé pour cette arnaque serait de 44 000 logiciels entre 1997 et 1999.
Mais comme tout à une fin , ils font actuellement l’objet d’un procès devant la Cour d’appel de Versailles et risquent 15 mois de prison ferme pour les deux principaux organisateurs. En première instance le Tribunal de Nanterre avait notifié de 4 à 15 mois de prison avec sursis (avec pour certains 10 000 euros d’amende).
Microsoft pour sa part, qui fait partie des plaignants, réclame 20 millions d'euros de dommages et intérêts et 1 million d'euros pour préjudice moral.
A suivre…
Cela permettait de revendre des logiciels au quart de sa valeur officielle en France.
Le chiffre total avancé pour cette arnaque serait de 44 000 logiciels entre 1997 et 1999.
Mais comme tout à une fin , ils font actuellement l’objet d’un procès devant la Cour d’appel de Versailles et risquent 15 mois de prison ferme pour les deux principaux organisateurs. En première instance le Tribunal de Nanterre avait notifié de 4 à 15 mois de prison avec sursis (avec pour certains 10 000 euros d’amende).
Microsoft pour sa part, qui fait partie des plaignants, réclame 20 millions d'euros de dommages et intérêts et 1 million d'euros pour préjudice moral.
A suivre…